Depuis toute petite, j'ai toujours adoré la lecture. A partir du moment où j'ai su lire, je pouvais y passer des heures, dévorant les bouquins les uns après les autres (et notamment les Harry Potter, qui ont marqué mon enfance et même mon adolescence).
Je dois en grande partie cet amour de la lecture à ma mère, qui est bibliothécaire et qui m'a transmis, je pense, sa passion pour les livres.
La lecture m'apporte un sentiment que je ne retrouve avec rien d'autre, une sorte de plénitude ainsi qu'un enrichissement, une perspective nouvelle sur la vie, que je trouve inégalables (bon, évidemment, certains livres possèdent plus que d'autres cette faculté ;)).
Bref, tout ça pour dire que je compte, dans ce blog, parler des livres que j'ai lus et surtout de ceux qui m'ont marquée, touchée.
C'est le cas du roman que je viens de terminer : La petite lumière, de Antonio Moresco.
C'est le premier ouvrage que je lis de cet écrivain italien contemporain, auteur de romans, nouvelles, mais aussi de pièces de théâtre et d'essais.
Je vous laisse aller voir la quatrième de couverture si ça vous intéresse : http://www.babelio.com/livres/Moresco-La-petite-lumiere/627856
Je suis assez nulle pour attribuer des qualificatifs aux livres que je lis. Tout ce que je peux dire, c'est que ce bouquin m'a laissé une impression étrange... positivement étrange.
Bon, déjà, niveau écriture, rien à redire. C'est très, très bien écrit.
Le roman est très marqué par le champ lexical du monde végétal. La nature y est extrêmement présente, son omniprésence est même angoissante.
Ensuite, l'intrigue surprend. Pas qu'il y ait une véritable "intrigue", comme il y aurait dans un roman policier par exemple. Si vous aimez les romans avec des péripéties à toutes les pages, ce livre ne vous plaira certainement pas.
Il est assez descriptif et fait partie de ces histoires qui, comme la vie en fait, sont le plus souvent calmes, ponctuées de temps en temps par des évènements plus particuliers.
Mais disons tout de même que la chute est surprenante. Je ne vous en dis pas plus pour vous laisser découvrir tout cela vous-même.
Si je devais le décrire en un mot, je dirais que ce roman est poétique. Il m'a marquée et je compte bien lire d'autres ouvrages de cet auteur. :)
Edit : Je crois malheureusement que peu de ses ouvrages sont traduits en français. Une chose est sûre, Fable d'amour l'est... ce sera donc ma prochaine lecture de cet auteur. :)
La petite Manon
lundi 22 février 2016
lundi 11 janvier 2016
Se libérer de la dictature du soutien-gorge
Je me suis récemment perdue sur Youtube, comme ça m'arrive assez souvent, et je suis tombée sur cette vidéo :
Et bien laissez moi vous dire que je l'ai ADOREE ! Bon déjà cette fille est géniale, j'adore ça façon de s'exprimer ; elle parle avec légèreté, humour et autodérision et je trouve ça cool.
Et puis il faut bien avouer que le sujet de la vidéo a fait écho en moi puisque j'ai moi-même "des petits tétés" ;)
On ne peut pas dire que je sois particulièrement complexée par ceux-ci.
Tout du moins, c'est ce que je pensais avant que la vidéo ne m'amène à m'interroger un peu plus sur le sujet.
J'ai commencé par me demander si les soutiens-gorges push up que je porte environ 364 jours sur 365, je les portais pour moi ou pour les autres. Question plus difficile qu'il n'y paraît.
Mais après réflexion, j'en suis arrivée à la désolante conclusion que je me sens plus ou moins obligée de les porter. Comme si je n'avais pas le droit (ou que je n'assumais pas) d'imposer à tous mes petits seins, dans une société où les femmes sont hyper-sexualisées et que beau décolleté rime avec décolleté pigeonnant et donc avec gros seins.
En plus, je pense qu'on est toutes d'accord là-dessus... c'est tellement désagréable et inconfortable, de porter un soutien-gorge (et qui plus est un push up -qui dit push up, dit armatures-) !
Surtout quand on fait un petit 85B qui n'a absolument pas besoin d'être soutenu... !
Sur ce constat, toute impulsive que je suis, je me suis immédiatement ruée à H&M, bien déterminée à éliminer de mon quotidien cet objet de torture (non, je ne suis pas excessive ;)) et à le remplacer par des petites brassières en dentelle, très jolies, que j'avais déjà repérées mais dont je me disais que "je ne pouvais pas porter ça, voyons, avec ça on ne verrait même plus mes seins !".
Et bien si, ils sont petits mais bien là, j'ai décidé de les assumer.
Et puis qui sait, peut-être qu'un jour j'arriverai à vivre moi aussi, "sans soutif" ;)
Et bien laissez moi vous dire que je l'ai ADOREE ! Bon déjà cette fille est géniale, j'adore ça façon de s'exprimer ; elle parle avec légèreté, humour et autodérision et je trouve ça cool.
Et puis il faut bien avouer que le sujet de la vidéo a fait écho en moi puisque j'ai moi-même "des petits tétés" ;)
On ne peut pas dire que je sois particulièrement complexée par ceux-ci.
Tout du moins, c'est ce que je pensais avant que la vidéo ne m'amène à m'interroger un peu plus sur le sujet.
J'ai commencé par me demander si les soutiens-gorges push up que je porte environ 364 jours sur 365, je les portais pour moi ou pour les autres. Question plus difficile qu'il n'y paraît.
Mais après réflexion, j'en suis arrivée à la désolante conclusion que je me sens plus ou moins obligée de les porter. Comme si je n'avais pas le droit (ou que je n'assumais pas) d'imposer à tous mes petits seins, dans une société où les femmes sont hyper-sexualisées et que beau décolleté rime avec décolleté pigeonnant et donc avec gros seins.
En plus, je pense qu'on est toutes d'accord là-dessus... c'est tellement désagréable et inconfortable, de porter un soutien-gorge (et qui plus est un push up -qui dit push up, dit armatures-) !
Surtout quand on fait un petit 85B qui n'a absolument pas besoin d'être soutenu... !
Sur ce constat, toute impulsive que je suis, je me suis immédiatement ruée à H&M, bien déterminée à éliminer de mon quotidien cet objet de torture (non, je ne suis pas excessive ;)) et à le remplacer par des petites brassières en dentelle, très jolies, que j'avais déjà repérées mais dont je me disais que "je ne pouvais pas porter ça, voyons, avec ça on ne verrait même plus mes seins !".
Et bien si, ils sont petits mais bien là, j'ai décidé de les assumer.
Et puis qui sait, peut-être qu'un jour j'arriverai à vivre moi aussi, "sans soutif" ;)
mardi 22 décembre 2015
Découverte : Les petites jupes de Prune
J'aime beaucoup l'idée de faire vivre des petits créateurs, des petites marques proposant des produits fabriqués en France. Mais en général, il faut bien se l'avouer... c'est parfois assez cher.
J'ai découvert, il y a quelques temps, la boutique "Les petites jupes de Prune".
Comme son nom l'indique, elle propose des jupes, exclusivement.
Certains modèles sont disponibles sous forme de tailles classiques et d'autres peuvent être réalisées sur-mesure, ce que je trouve particulièrement top lorsqu'on est petite (ce qui est mon cas) et qu'on peine à trouver des vêtements dans lesquels on ne nage pas.
![]() |
| Modèle "Palaccio" - 79€ |
En plus, les matières sont variées et les motifs super craquants.
Bref, tout pour plaire. Et le prix en fait partie : comptez 39-79€ la jupe !
Pour un vêtement fabriqué en France, je ne trouve pas ça excessif du tout.
![]() |
| Modèles "Plissée Bordeaux" - 59€ et "New Year" - 69€ |
On m'a offert la jupe "New Year" pour noël et je suis ravie. Ce modèle-ci se fait sur mesure, si bien que j'avais dû mesurer mon tour de taille au préalable, ainsi que sélectionner la longueur que je désirais pour la jupe.
Résultat : elle est parfaitement ajustée et la longueur est elle-aussi impeccable. C'est un peu une révolution pour moi qui suis systématiquement obligée de reprendre les jupes que j'achète car trop longues ou trop larges (ou les deux, parfois ;).
Par ailleurs, la matière est épaisse et a l'air d'être de qualité donc je suis complètement satisfaite.
En plus, j'ai trouvé le colis très soigné, la jupe était bien emballée et était accompagnée d'une petite pochette en tissu à motifs très jolis.
En bref, donc, une petite marque sympathique, made in France et au rapport qualité-prix très bon.
Je commanderai très certainement sur le site ! :)
mardi 20 octobre 2015
Tattoo or not tattoo ?
On ne pourra pas le nier, le tatouage divise.
Il est incontestable qu'il s'est considérablement démocratisé ces dernières années ; plus seulement réservé aux motards en veste en cuir, il semble conquérir de plus en plus de personnes, de milieux tout à fait différents.
Pour autant, certaines personnes ont encore des idées reçues par rapport aux tatouages ; elles trouvent que cela fait mauvais genre ; bref, elles l'associent à certains comportements, certaines attitudes.
Je dois avouer que je ne comprends pas très bien ce point de vue.
Bien-sûr, cela dépend du tatouage ! On peut facilement comprendre qu'un tatouage représentant une croix gammée fasse mauvais effet (hum hum, bon, ok, j'ai pris le cas extrême).
Mais quel est le problème d'un tatouage représentant un envol d'hirondelles, par exemple ? Peut-on dire que cela fait "mauvais genre " ? Je ne crois pas, et pourtant certaines personnes ne le tolèrent pas.
![]() |
| (http://www.phototattoo.fr/tatouage-hirondelle-qui-senvole/) |
L'exemple de l'envol d'oiseaux n'est pas anodin, en réalité, c'est un tatouage que j'aimerais beaucoup avoir sur le poignet (je sais, c'est un tatouage commun, mais que voulez-vous ? il me plaît et je trouve que l'important est la signification qu'on attribue à son tatouage, qui elle est totalement personnelle... Mais cela, c'est un autre débat ;)).
Certaines personnes à qui j'en ai parlé m'ont déconseillé de me faire tatouer, me disant que cela ferait mauvais effet dans le milieu dans lequel je risque de travailler (le droit).
Eh bien peut-être, mais je ne trouve pas cela acceptable de se priver de quelque chose dont on a envie, qui ne concerne que nous et notre corps, sous prétexte que cela ne plaira pas dans le monde du travail.
Cela va peut-être sonner un peu niais ou cliché, mais je trouve qu'il y a déjà tellement de choses qui nous sont imposées, tellement de conventions, que c'est important de vivre un peu comme on l'entend. Surtout pour des choses qui concernent notre corps et ne font pas de mal à qui que ce soit. Quitte à ne pas avoir l'approbation de la société pour cela, tant pis, soyons fous ;)
Et puis comme je le disais précédemment, je ne vois pas ce qui pourrait m'être reproché dans le fait de m'être fait tatouer des oiseaux sur le poignet... je ne vois décidément pas en quoi cela pourrait heurter la sensibilité de mes futurs clients si j'en venais à devenir avocate par exemple.
Bref, voilà, je voulais juste faire partager mon avis sur la question et avoir le votre :)
dimanche 18 octobre 2015
Parce qu'il faut bien se lancer un jour.
Cela fait maintenant des années que je suis assidûment certaines youtubeuses et blogueuses beauté telles que Hélène, de Monblogdefille, ou encore Julie de la chaîne Julielovesmac07.
J'ai dû commencer alors que j'étais en seconde ou première, cela fait donc au moins 5 ans maintenant (cela risque de sonner quelque peu excessif du haut de mes 20 ans mais ouh, que le temps passe vite!).
L'univers de la beauté et de la mode me plaît énormément, dans la mesure où il permet, je trouve de s'exprimer, un aspect que je ne retrouve pas vraiment dans les études que je fais (je suis étudiante en droit et il faut bien admettre que ce n'est pas un domaine qui permet de mettre en œuvre sa créativité outre mesure ;)).
Alors voilà, après moult tergiversations, je me lance !
En grande procrastinatrice que je suis, j'ai remis àdemain, après-demain, après-après-demain, mais là, ça y est, c'est maintenant, Manon.
En grande procrastinatrice que je suis, j'ai remis à
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